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ITTEVILLE (91) |
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Ce matin, rendez-vous à 8h30 devant le coiffeur pour le covoiturage et 9h00 au parking des Hirondelles. Enfin tout s'est organisé pour y être présent. Mais moi, j'ai eu la surprise car sur le point de quitter BONDOUFLE avec Cyril P., Guën arrive. Avec son VTT électrique, il faut équilibrer les charges sur le porte vélo. Ce qui impose de redescendre les vélos pour charger les 23kg auprès du mat et mettre les plus légers sur les bras. Enfin toujours est-il que le porte-vélo accepte plus que la valeur indiquée par le constructeur. Tout est prêt, nous partons rejoindre Eric et Jean-Mi qui ont fait covoiturage et Roland qui s'est déposer. Le crachin s'invite sur le départ est d'entrée le ton est donné avec un bord de champ gras. "Ah oui, j'avais oublié, C'est une boucle technique". La traversée du Bois du mont jusqu'au tunnel de la RN191. Pour Cyril P. je donne la note de 20/20 pour sa technique du pousser-rouler. A peine arrivé sur la plaine de Mondeville que nous sillonnons le long des chaises de chasseurs occupées par des hommes en orange. Apparement aujourd'hui, c'est jour de chasse de régulation des sangliers. Il suffit d'être vigilant comme il est indiqué sur les panneaux. Dans la descente du cul d'enfer, j'ai à peine eu le temps de signaler la branche en passant dessous qu'Eric se couche pour l'éviter. L'amabilité des chasseurs n'est innée. Cyril P. en a eu la preuve en leur demandant si nous étions déjà passés. "Tu verras bien !" lui est répondu. Au sommet de puits sauvage, nous nous arrêtonspour nous reposer, mais aussi pour que guën resserre les boulons de sa suspension arrière. Profitant de cet arrêt, je propose de faire la pause barre céréales. Le chasseur n'est pas du même avis et nous invite à aller plus loin car nous sommes bruyants. A la sortie du Bois de Beaulne, Cyril P. nous annonce que son pneu arrière est dégonflé. Une nouvelle pause s'impose pour simplement regonfler. Vient enfin la dernière difficulté de la matinée avec la descente du Bois de la folie ruzé. Je suis sur le point de dépasser Cyril P. Lorsque je vois Guën étalé au bord de l'ornière. A première vue, Guën a le nez enflé et de travers. Mais apparemment, c'est normal. Le temps de redresser le guidon et ramasser les pièces qui se sont détachés du vélo dans l'envolée, Jean-Mi remonte pour se refaire la descente. J'arrive à la barrière et trouve Cyril qui prend la pose dans le franchissement de la barrière. S'il y avait un concours de l'élégance, je lui décernerai celle de la "taupe-modèle". Le moment immortalisé, nous finissons la descente avec les trois marches du cimetière. après la traversée bitumée de BEAULNE, nous retrouvons la moquette qui longe la linge SNCF. C'est tout plat, alors on emmène les grands braquets en écrémant le groupe. jean-Mi nous annonce que Cyril P. a encore crevé et nous faisons demi-tour jusqu'au passage à niveau. Le temps passé à réparé est très long car il a fallu une chambre à air percée, une rustine et un saussiconnage au scotch pour enfin arriver à mettre une chambre neuve. 25 minutes se sont écoulées avant que nous repartions vers le parking. Après cette sortie ludique, l'opération de chargement se complique car il faut insérer le VTT de Roland dans la voiture d'Eric. Incroyable les trois VTT dont le fatbike sont chargés et Roland a même une place assise pour le retour sur BONDOUFLE. | |||
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Kilomètre 8, chute d'Eric
Kilomètre 10.8, reserrage suspension arrière de Guën Kilomètre 12.5, crevaison de Cyril P. Kilomètre 13.5, chute de Guën Kilomètre 15.5, crevaison de Cyril P. |
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19.5 kilomètres.
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348 mètres.
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Le terrain gras.
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Pas de ravito
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Crachin avec accalmie en cours de matinée
Eclaircie en fin de matinée |
8 degrés au début de la sortie
10 degrés au retour
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