SORTIES VTT DE LOULOU

BOISSY-SOUS-SAINT-YON (91)

Ce matin, jour J pour la sortie cohésion du boulot. Nous sommes 15 volontaires pour randonner sur le tracé que j'ai mis en place. Après deux reconnaissances, Pandore prend la tête du groupe de vététistes de tous les niveaux. Et moi je joue le serre-file. Ca change, mais ça demande plus de vigilance pour ne pas percuter les derniers. Les plus forts ont demandé une côte pour ce réchauffer car juste avant de partir, la pluie était bien présente. Mais le soleil ne tarde pas à se faire sentir et l'effeuillage est de rigueur. Dans la montée vers SAINT-YON, je m'arrête au niveau d'un arbre par lequel s'échappe des piallements. En y regardant de plus près, c'est un nid de picvert avec la mère prtectrice qui montre son bec. Comme ça monte pas vite je rattrappe le groupe en haut de la côte qui profite d'une pause culturelle au cimetière. La descente caillouteuse légèrment humide demande un peu de maitrise, mais tout le monde passe. Quelques conseils sont distilés pour la gestion des vitesse et la position sur le vélo aux néophytes, puis le groupe continue. Après la montée de LA BELLE ETOILE, nous rencontrons un groupe de collégiens qui sont sur une sortie scolaire. Pandore gère admirablement le groupe, normal en temps que chef de l'école VTT de l'OC GIF. Ce qui permet à tout le monde de suivre. Le parcours défile et nous venons de passer la mi parcours. Il nous reste deux côtes à gravir. dans la côte d'ardenelle, je passe devant le groupe qui s'étire afin de prendre des photos en plein effort. "Tu travailles pour Google ?" me lance mon camarade. Nous nous accordons une pause prolongée à SAINT-CHERON. Après cette escale très appréciée, nous repartons vers SAINT-SULPICE-DE-FAVIERES. mais avant, il y a le gué de La Croix-Blanche. Au moment de le traverser, je décide de tourner et de suivre le cours d'eau. Pandore cite ma devise pour justifier cette décision. Nous arrivons à l'école de SAINT-SULPICE-DE-FAVIERES, mais aussi au pied de la dernière côte. La dernière partie plus humide provoque, le rippage sur la caillasse. Dernière descente, malgré un avertissement, un casse-cou omnubilé par le rocher à passer en oublier l'arbre couché devant lui. Et là c'est la culbute de l'autre côté du chemin. Le temps que je sorte mon appareil photo, il s'est déjà relevé sain et sauf. "Et alors le photographe n'est jamais là quand-il faut !" tranquillement nous arrivons sur le parking pour retrouver les autres collègues qui nous attendent pour passer à table.