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Ce matin, c'est la dernière reconnaissance de notre randonnée la Bondoufloise que j'ai programmé. Un peu de cafouillage au départ de BONDOUFLE. Certains ont reçu mon SMS d'autres pas! Ce qui fait que le temps que tout s'organise nous quittons le lieu de rendez-vous bondouflois avec une demie-heure de retard. Une chance, nous n'aurons que 18 kilomètres à parcourir. Nous laissons les voitures sur le parking où aura lieu le ravito, pour attaquer la partie ludique. Le tracé à travers le mont de Saussay plait au groupe composé de Kiki, Théo, Eric, Roland, Mehd, Christel, Gps et moi-même. Puis le single tortillard nous amène au tunnele sous la RD19. J'en profite pour retirer la graisse de la tige de selle de Mehdi, car c'est gênant une selle qui tourne. Toujours en sous-bois, nous longeons la clôture qui nous guide jusqu'au plateau de malvoisine. Là, Christel fait la remarque "Y a pas un dolmen dans le coin?" Je n'ai pas eu le temps de finir ma réponse que Roland venant d'arriver pose la même question. Et bien non, les paysage se ressemble mais nous ne sommes pas à POCANCY !. Nous reprenons le chemin trempé qui occasionne de belles figures. Nous profitons de l'auge pour faire la pause ravito. Le chemin rempli d'ornières nous amène à la descente que certains feront à pied. Le temps que le groupe se reconstitue, Eric et Théo partent jouer dans les rochers. Au moment de repartir, n'ayant pas vu Eric, je pars récupérer Théo en vain. Arrivé au bout du single, il ne me reste plus qu'à rebrousser chemin. Soit une première rallonge de 2 kilomètres. Ayant entendu le groupe lors du retour, je pars à leur rencontre. Mais comme ils se sont trompés, cela occasionne un deuxième bonus de 600 mètres. En remettant tout le monde sur le bonne tracé, j'entends derrière moi "Moi je suis Loulou, car lui seul connait le parcours !." La dernière difficulté de la matinée est la remontée au dessus du bois de Beaulne avec le coup de cul sur la fin, pas évidant à prendre avec le terrain gras. Le teerrain trempé laisse place à une belle allée en grave-ciment avant d'arriver à la dernière descente de la matinée. Mehdi freine tellement qu'une odeur de plaquette cramée submerge les narines au niveau de la barrière. Malgré les recommandations données en haut de la côte, Christel nous fait une belle chûte au passage des marches du cimetière, le tout dans une explosion de rire. Voilà, en longeant la voie ferrée, le reste du parcours est tout plat jusqu'au parking.
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Kilomètre 3.7, resserage tige de selle pour Mehdi. kilomètre 9.2, recherche de Théo. Kilomètre 11, erreur de direction du groupe. Kilomètre 16.6, chute de Christel.
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