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Ce matin, c'est une reconnaissance de notre randonnée la Bondoufloise que j'ai programmé. Dany, Gps, Eric, Théo, Kiki, Jean-Mi, Guën ont répondu présent. Nous avons un invité de marque en la personne de Philippe notre président. Nous prenons la direction de l'hôpital de CHAMPCUEIL pour démarrer la boucle. C'est un groupe hétéroclite qui s'est formé et qu'il va falloir gérer. le début du parcours commence sur un terrain roulant dans la partie basse du Bois de la Coudraye. Mais à l'extrémité du sous-bois, les feuilles compliquent la montée en dévers. Le groupe s'étire et provoque un premier regroupement au moment de traverser la RD153. Nous traversons le bois de la Boularde avant de nous mettre à découvert sur le plateau de NOISEMENT. Comme hier, il a bien plu une bonne partie de la journée, les chemins sont bien trempés. Gps en sait quelque chose car rouler en pneu slick, l'adhérence n'est pas au rendez-vous. Pour remonter l'aqueduc, je propose deux solutions, mais apparemment la plus facile ne l'est pas. Juste avant de traverser la route, je me plante dans une ornière perpendiculaire et c'est la chûte. Dans le bois de la Garenne, Kiki m'annonce que Gps vient de casser sa chaîne. Effectivement le maillon ouvert et tordu nécessite un peu de mécanique. la transmission de Gps a souffert et il nous abandonne à LA PADOLE. Eric essayant de faire une cabriole nous gratifie d'un belle chûte. Le plateau du grand Orme à découvert nous amène à MONDEVILLE. à partir de ce moment là, les chose vont se durcir un peu avec la descente en cailloux légèrement humides. Au bas de la descente, Jean-Mi est contraint de faire un peu de mécanique pour débloquer son frein arrière. Après avoir expliqué ce qui nous attendait dans le Petit bois, il faut passer à la pratique. Après la cuvette préfacée par une marche, il y a la côte recouverte de feuille à gravir. Jean-mi chûte et Philippe se moquant de lui fait de même. le tronc en travers oblige les plus forts à mettre pieds à terre et terminer l'escalade à pied. Dans la descente la confirmation d'une reconnaissance s'avère juste, puisqu'une cabane de chasseurs a poussé le long du chemin qui est barré. Je jette un coup d'oeil rapide sur le Gps pour improviser une déviation. A un croisement nous découvrons un vélo qui n'a pas roulé depuis belle lurette. Finalement la déviation nous amène sur la barrière au début de la propriété privée. Je pars valider l'entrée du chemin un peu plus heut sur la RD87. Nous pouvons reprendre le tracé initial avec Jean-Mi en tête. Au carrefour, il se glorifie de ne pas s'être trompé et tombe. La montée du toboggan se fait à pied car ça glisse de trop sur les cailloux humides recouverts de feuilles. Bien contents d'être au sommet, il nous faut terminer sur une portion d'ornières bien remplies. "On a du loupé quelque chose" indique Jean-Mi en entendant que le volume avait monté à l'arrière. Nous en avons confirmation à l'arrêt suivant en apprenant que Philippe s'est vautré juste au début du chemin. Nous quittons le GR pour la dernière descente de la matinée. La délation existe dans le groupe avec la chûte de Philippe. Une de plus qu'il faut que je note pour le résumé. La barrière ayant brulé, il n'y a donc plus de chicane dans le bas de la descente qui précède la dernière ligne droite jusqu'au parking.
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Kilomètre 6.7, chute de Loulou. Kilomètre 8.2, casse de la chaine pour Gps. Kilomètre 9.2, chute d'Eric. Kilomètre 13.6, Frein arrière bloqué pour Jean-Mi. Kilomètre 14.1, chute de Jean-Mi. Kilomètre 14.1, chute de Philippe. Kilomètre 19.3, chute de Jean-Mi. Kilomètre 20.3, chute de Philippe. Kilomètre 23, chute de Philippe.
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