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SAINT-JEAN-DE-MONTS (85) |
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Ce matin, je troque mon VTT pour les chaussures de marche. Samedi dernier ayant initié la famille au geocaching et hier ayant trouvé deux caches sur trois, j'ai décidé d'aller rechercher à pied un maximum de boites dans la matinée avec un temps limité à quatre heures trente minutes. Alors pour les non-initiés, le geocaching est un jeu qui a été inventé en Orégon en 2000. Elle est la réunion de deux mots, le préfixe "geo" qui correspond à la souche de géographie et "caching" qui dans sa première partie traduit le mot cache. Le tout veux dire trouver des caches. Dans une cache (un contenant qui peut être de plusieurs taille) qu'on localise grace à une position Gps, se trouve un objet (un bibelot sans valeur) et un carnet (logbook) pour répertorier les visites de chaque geocacheurs . Une fois la cache trouvée, il suffit de laisser son nom et la date sur le logbook et valider la trouvaille en laissant un commentaire sur la fiche disponible sur le site geocaching.com. Si on a pensé à emporter avec soi un bibelot, on peut procéder à l'échange avec celui trouvé. Au siècle dernier, avant l'invention de ce jeu, ça s'appelait chasse aux trésors. En 2017, plus de 3 millions de caches ont été recensées. Alors voici donc une motivation de plus pour aller découvrir les environs de la maison. Les Waypoints et le tracé direct sont enregistrés dans le Gps. Il ne me reste plus qu'à m'élancer à cette chasse aux trésors. J'en ai sélectionné dix pour une distance d'environ 10 kilomètres. Et c'est parti pour la première que je rejoins en me dirigeant directement dessus avec bien évidemment des écarts dûs à la végétation infranchissable. Sur mon trajet, je croise des cabanes très évoluées pour certaines. Après environ deux kilomètres, me voici sur la première cache. Elle se trouve à proximité d'une mare, mais au bout d'un quart d'heure n'ayant rien trouvé, je repars vers la suivante qui est également au bord d'une mare. Mais cette fois-ci, je la trouve facilement. La suivante se trouve au château d'eau. Mais c'est la deuxième cache créée par Dalmatien104 pour la matinée et quatrième pour mes recherches vendéennes. Il va falloir que je décrypte sa methode de dissimulation car je ne les trouve pas. Au moment de repartir, la pluie s'invite et m'oblige à enfiler le Kway. C'est aussi un endroit propice aux balises car il y a un poinçon de course d'orientation et un indice pour une colonie je suppose. Je file vers la statue de la Vierge et l'enfant. Mais là encore je ne trouve pas la mini cache. Je décide donc de ne pas aller sur celle du calvaire pour repartir vers une série de trois caches sur la piste des écureuils. Les indices sont maigres, mais les commentaires laissés par les autres géocacheurs permettent de trouver plus facilement. La pluie s'est arrêtée, je range le Kway dans le sac à dos. En allant sur la balise du remblai, je m'arrête pour cueillir le dessert. Le murier platane est généreux en fruits. Ces mûres ont un goût différent de celles trouvées dans les ronciers qu'on appelle murons. Arrivé à la cale22, je constate grâce aux commentaires que j'ai été trop loin. Avec l'indice du fil de nylon, je comprends que ça va être un peu plus compliqué à trouver. Mais finalement la boite de couleur camouflée s'est dévoilée rapidement grace à son fil. Il me reste encore une cache que je décide d'éviter. D'une part le temps que je m'étais fixé approche de son terme et d'autre part c'est Dalamtien104 qui l'a caché. C'est avec dix minutes de retard dûes à la cueillette des mûres que je termine ma balade. Sur 10 caches prévues, j'en ai trouvé 5 et évité 2. Je repartirai un autre jour à la recherche de celle que je n'ai pas trouvé. | |||
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Aucun incident à signaler.
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10.88 kilomètres.
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151 mètres.
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sable et bitume.
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Pas de ravito.
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Averses passagères jusqu'à mi-parcours
ciel bleu pour la fin de la balade |
17 degrés au début de la sortie
22 degrés au retour
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